ABEILLE SAUVAGES

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ABEILLE SAUVAGE

 Il est possible de poser des actes concrets pour protéger ces alliées, mais avec l’aide des gouvernements

Depuis quelques années, les apiculteurs de toutes les régions du monde déplorent annuellement une perte de colonies d’abeilles allant de 30 à 70 %, et parfois plus.
Photo: Pedro Ruiz – Le DevoirDepuis quelques années, les apiculteurs de toutes les régions du monde déplorent annuellement une perte de colonies d’abeilles allant de 30 à 70 %, et parfois plus.nid de guepes.

Les pollinisateurs, nous le savons, sont responsables de la production d’un grand nombre de cultures de fruits et de légumes, cultures que nous consommons tous les jours et qui nous procurent un bon apport d’éléments nutritifs. Cette pollinisation par les insectes est aussi nécessaire à la régénération de nombreuses cultures fourragères utilisées par le bétail. Nous reconnaissons maintenant le rôle essentiel de ces précieux alliés, rôle directement lié à notre propre survie.Extermination Longeuil.

APSM Extermination s ocupe d Exterminer les guepes  dans les municipalites suivantes  Longeuil. Boucherville. st Hubert. st Jean sur le Richelieu. Brosard.ETC.

L’insecte pollinisateur le plus réputé est sans aucun doute l’apis mellifera, mieux connue sous le nom d’abeille domestique. Ce pollinisateur est domestiqué, tout comme la vache, le porc ou la volaille. Il est donc possible pour l’humain d’avoir un certain contrôle sur le maintien des populations d’abeilles. Malgré cela, depuis quelques années, les apiculteurs de toutes les régions du monde déplorent annuellement une perte de colonies d’abeilles allant de 30 à 70 %, et parfois plus.nid de guepes.
Pendant que les apiculteurs s’acharnent à rebâtir leurs colonies perdues, qui s’occupe des pollinisateurs sauvages ? Ces espèces hébergées par les milieux naturels sont-elles aussi en train de dépérir ?Exterminateur st Clotilde.
À l’échelle mondiale, quelque 17 000 espèces de pollinisateurs sauvages ont été identifiées, dont 3500 en Amérique du Nord. Au moins 1000 de ces espèces sont présentes au Canada, dont plus de 350 au Québec. Depuis le milieu des années 1990, des baisses de population de ces pollinisateurs ont été signalées sur pas moins de quatre continents.Extermination st Catherine.
Le déclin d’une population est défini comme une diminution du nombre d’individus ou encore du nombre d’espèces dans un milieu, dans le temps. Selon les experts chargés d’estimer le déclin des pollinisateurs, ce type de situation est observable et varierait d’une espèce à l’autre.nid de guepes.

Pour obtenir un nombre suffisant de pollinisateurs et assurer le rendement optimal de nos cultures, il est possible d’augmenter le nombre d’individus par l’élevage d’espèces sélectionnées. Au fil des siècles, c’est ainsi que l’humain a domestiqué l’abeille. Toutefois, ce ne sont pas toutes les espèces qui peuvent être domestiquées. La majorité des pollinisateurs sauvages sont solitaires, et non sociaux. L’élevage de ces espèces solitaires est impossible.Extermination st Michel.

 

Les insecticides
La protection et le maintien des populations naturelles locales s’avèrent des stratégies durables de conservation des pollinisateurs. Or, une des signataires de la présente lettre, Madeleine Chagnon, qui s’intéresse aux effets des insecticides néonicotinoïdes systémiques sur les abeilles, a publié avec sa collègue Monique Boily une étude dans laquelle elles réitèrent leurs inquiétudes par rapport à la présence même de ces composés chimiques dans l’environnement pour la survie des pollinisateurs.nid de guepes.

En effet, à partir de biomarqueurs, l’étude a démontré une hausse de l’activité de l’enzyme AChE chez les abeilles qui étaient exposées au pollen de plants de maïs qui avaient été ensemencés avec des graines enrobées de ces pesticides systémiques de la famille des néonicotinoïdes. Ainsi traitée, la plante récupère une dose mortelle de l’insecticide, ce qui la protège des insectes ravageurs. Malheureusement, ce produit se retrouve aussi, à plus faibles doses, dans le pollen et le nectar des plantes.

Basé sur les résultats de nombreuses études importantes, l’usage de ces insecticides fait présentement l’objet d’un moratoire dans plusieurs pays du monde.Exterminateur guepes st Edward.
Il existe bien sûr d’autres causes possibles du déclin des pollinisateurs, incluant la perte de diversité des ressources florales, les pathogènes et les parasites. Cependant, des études ont démontré que l’exposition, même sous-létale, à ces pesticides neurotoxiques pourrait accentuer les effets néfastes de ces autres facteurs de stress. Des études sont en cours au laboratoire de Valérie Fournier de l’Université Laval pour vérifier les risques d’exposition des abeilles domestiques et sauvages aux poussières de semences contenant des néonicotinoïdes, lors des semis de maïs, de soya et de canola.Exterminateur guepes.
Bien que l’on considère que les abeilles sauvages jouent un rôle clé dans les fonctions des écosystèmes, très peu d’études ont exploré la dynamique de ces populations. De plus en plus, on observe de grandes fluctuations des populations chez ces pollinisateurs à l’échelle de la planète, ce qui peut avoir d’importantes conséquences sur l’équilibre des relations écologiques dans les écosystèmes naturels .nid de guepes.

.Extermination st Jean sur richelieu.
Par des initiatives individuelles, communautaires et urbaines, il est possible de poser des actes concrets pour protéger ces alliées. Toutefois, nous avons besoin de l’aide des gouvernements, afin qu’ils posent des gestes notoires tels que la création d’aires de conservation, et surtout, la mise en place d’une réglementation plus adaptée à la réalité des espèces contre les stress environnementaux qui les menacent, tels que les néonicotinoïdes, allant jusqu’à les interdire.nid de guepes.
Tout comme l’abeille domestique, les pollinisateurs sauvages butinent les plantes agricoles dans leur environnement. Avec l’intensification croissante de l’agriculture, il est important de prendre des mesures de gestion des ennemis des cultures qui permettront le développement d’une agriculture durable. Tout cela, pour assurer la conservation à long terme de nos ressources alimentaires et aussi la survie de l’équilibre écosystémique dans lequel nous vivons. En somme, il est donc question ici de notre propre survie !Exterminateur d insect.

 

 

  • Pour la protection de la famille des pollinisateurs
    La vie, la survie des abeilles, des pollinisateurs dépend d’un changement décisif des pratiques culturales. Les timides mesures prises à propos des pesticides doivent être sérieusement renforcées. L’interdiction des pesticides, des produits phytosanitaires dont la dangerosité est connue, s’impose. N’oublions pas le message d’ Einstein : lde la vie des abeilles dépend celle de notre espèce.nid de guepes.
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